Nous avons une jeunesse mal préparée aux enjeux économiques et sociaux qui l’attendent : ce constat vaut pour la France, mais aussi pour la Bretagne.
Or, en France, considérer l’entreprise comme partie prenante dans la formation initiale des jeunes ne va pas de soi. Grâce à un benchmark avec les pays européens, il serait possible de développer un projet d’expérimentation au bénéfice de la Bretagne, car il est vain de rechercher un remède miracle comme « l’apprentissage » et de vouloir copier intégralement le système « dual » allemand.
Les objectifs européens de la stratégie Europe 2020 qui succède à celle de Lisbonne 2000, « pour une croissance intelligente, durable et inclusive » nous donnent la feuille de route, qui n’est pas prise en compte par la France mais pourrait l’être par la Bretagne :